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Le conseil en ingénierie patrimoniale en Vaucluse
Vous vivez en Avignon dans le Vaucluse ou dans une autre commune du département du Vaucluse ?
Vous avez des questions d’ordre patrimoniale :
Épargne ;
Fiscales ;
Investissement ;
Défiscalisation immobilier ;
Préparation retraite.
Nous avons créé cette page pour ne pas vous laisser seul face à vos questions et problématique patrimoniale ! Arturo Wealth Management vous permet de répondre à quelques questions que vous avez. Cela a pour but de mieux vous faire comprendre notre métier ainsi que le champ d’action des solutions à adapter à votre profil.
Faire appel à un CGPi ou CGP situé en Vaucluse
La différence entre un CGP et un CGPI relève de la catégorie dans laquelle leur métier s’inscrit. Le conseiller en gestion de patrimoine (CGP) est dépendant du réseau banquier ou monétaire qui l’emploie. Le conseiller en gestion de patrimoine indépendant (CGPi), lui a l’avantage de ne dépendre que de ses capacités et de ses résultats.
Le conseil en gestion de patrimoine s’adresse à des particuliers voulant se libérer de la pression liée à l’investissement financier. Déléguer cette tâche à un professionnel revient également à trouver des solutions pour réduire ses impôts, notamment l’impôt sur la fortune (IFI). Ceci en toute légalité et dans le cadre d’un contrat avec un professionnel en conseil et en gestion de patrimoine. Régisseur de votre fortune, le CGPi est en outre habilité à gérer des opérations boursières par l’intermédiaire des banques. Il est donc en charge de votre patrimoine matériel et immatériel.
Quelle différence entre CGP et CGPi : sa rémunération !
Dans l’exercice de la fonction de gestionnaire de patrimoine, on rencontre deux catégories de conseiller. Les conseillers en gestion de patrimoine et les conseillers en gestion de patrimoine indépendants. Bien qu’il ne se pose aucune différenciation dans le rôle que joue chacun d’eux, ils existent néanmoins quelques différences au niveau de leur statut.
Les CGP travaillent dans le secteur privé pour des banques, des assurances, des coopératives et autres structures. Les CGPi sont des conseillers indépendants. Ils travaillent donc à leur propre compte et pour leur propre compte.
Sur le plan de la rémunération, les CGPi n’ont pas de salaire puisqu’ils travaillent pour leur propre compte. Ils perçoivent de leurs clients, des honoraires préalablement fixés et dépendant de la mesure du travail. Le CGP quant à lui, perçoit de son employeur une rétro commission correspondant à son salaire.
Comment est rémunéré le Conseil en Gestion de Patrimoine sur le Vaucluse ?
Les CGPi doivent normalement être payés en honoraires (comme un avocat), au forfait (un prix fixe) ou à l’acte (comme un notaire). En fonction de sa complexité, l’acte peut être facturé 500 € (pour la rédaction de la clause bénéficiaire d’un contrat d’assurance vie) et jusqu’à 20 000 € (pour un montage juridique complexe).
Le recours à un CGP salarié d’une banque privée ou d’un assureur est rarement facturé pour sa prestation de service intellectuelle.
Y-a-t-il d’autres différences entre les CGP et les CGPi ?
Si les conseillers en gestion de patrimoine CGP et les conseillers en gestion de patrimoine indépendants ont des divergences sur ces quelques points, ils demeurent tout de même égaux sur le plan de leurs rôles. Par ailleurs, ce qui peut vous intriguer c’est le problème de savoir auquel des deux faire appel.
À vous de faire votre choix entre un CGP ou un CGPi ?
Difficile à priori de savoir si un conseiller en gestion de patrimoine sera très performant. Mais vous pouvez prendre des garanties lors du premier rendez-vous en demandant un DER, un "Document d’entrée en relation" sur lequel doit figurer toutes ses qualifications, mais également les liens qu’il entretient avec des intermédiaires financiers, banques ou assurances qui vendent des produits.
Vérifiez également que votre CGP est bien immatriculé à l’ORIAS (www.orias.fr), le registre officiel des intermédiaires en assurance, banque et produits financiers. Enfin, le professionnel doit établir par écrit un diagnostic de votre situation et énoncer des préconisations qu’il soumettra à votre approbation.
En principe, il n’y a pas de minimum requis ou imposé pour passer la porte d’un CGP ou CGPi. Toutefois, pour placer 4 000 euros de liquidités, les produits bancaires classiques, comme le Livret A ou le PEL ne nécessitent pas spécialement de conseils personnalisés.
En revanche, pour une problématique plus complexe relative à vos revenus, placements ou encore sur les modalités de rémunération si vous êtes un chef d’entreprise, un bon CGPi doit vous proposer des solutions adaptées.
La famille et la gestion de patrimoine - Vaucluse
Le mandat de protection future :
Le mandat de protection future est un contrat qui va permettre à une personne (le mandant) d’organiser à l’avance sa protection en donnant pouvoir à une autre personne (le mandataire) de veiller sur elle et de gérer tout ou partie de son patrimoine. Le mandat ne prenant effet que le jour où l’intéressé n’est plus en état physique ou mental de s’occuper seul de ses "affaires". L’étendue de la mission du mandataire est librement définie par le mandant. Des pouvoirs dont les limites et les conditions d’exercice devront être précisées par le mandat. Comme la gestion d’un patrimoine impose de prendre des décisions rapidement, il conviendra de conférer au mandataire les pouvoirs les plus larges pour réaliser des actes d’administration et de disposition, comme la cession d’un bien immobilier, ou encore la signature d’un bail d’habitation.
Le mandat à effet posthume :
Le mandat à effet posthume permet, quant à lui, d’organiser la gestion de son patrimoine lors de sa disparition. Le mandant désigne alors une personne qui sera chargée d’administrer tout ou partie de sa succession pour le compte et dans l’intérêt d’un ou de plusieurs héritiers identifiés. Pour ce faire, le mandant désigne, par acte notarié, un ou plusieurs mandataires choisis parmi les héritiers eux-mêmes ou une personne extérieure à la famille, en n’omettant pas de décrire, bien évidemment, les missions qui lui sont confiées ainsi que les biens faisant l’objet du mandat. Le mandataire devant obligatoirement accepter sa mission avant le décès du mandant, faute de quoi le mandat ne produirait aucun effet.
Aider ses enfants :
Certains parents, propriétaires d’un bien immobilier inoccupé, n’hésitent pas à le mettre à la disposition d’un de leurs enfants. Une pratique qui présente de nombreux avantages, mais qui impose de respecter certaines règles.
Impôts et rattacher ses enfants :
Lorsque les enfants deviennent majeurs, les parents doivent se poser la question de l’opportunité de demander à l’administration leur rattachement au foyer fiscal. Une question dont la réponse varie en fonction de la situation des contribuables concernés.
Comprendre la évolution successorale :
Si vous n’avez pas pris de dispositions pour organiser la transmission de votre patrimoine, c’est la loi qui se chargera de répartir vos biens entre vos différents héritiers. Une répartition qui s’opérera selon un ordre bien établi.
Les investissements et placements financier en Vaucluse
Comprendre les SCPI :
Les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) sont des sociétés spécialisées dans l’acquisition et la gestion de biens immobiliers qui redistribuent à leurs porteurs de parts les loyers qu’elles perçoivent. Leurs avantages sont nombreux. Outre le fait qu’elles distribuent des revenus réguliers et attractifs, elles offrent également aux souscripteurs une certaine sécurité dans la perception de ces revenus. En effet, la SCPI disposant de nombreux immeubles, les risques liés aux loyers impayés ou aux vacances locatives sont mutualisés et donc fortement réduits.
À crédit ou au comptant, l’achat de parts de SCPI est ouvert à tous. Les investisseurs peuvent être des personnes physiques ou morales (société civile immobilière, association, société commerciale…). Ils peuvent être résidents français ou non.
Le plan d’épargne retraite :
Dans le cadre de la loi dite "Pacte" du 22 mai 2019, les pouvoirs publics ont souhaité réformer l’épargne retraite pour la rendre plus attractive. Pour cela, ils ont unifié les différents produits d’épargne existants au sein d’un produit unique : le Plan d’épargne retraite (PER). Un nouveau contrat, commercialisé depuis le 1er octobre 2019, qui se veut plus souple et mieux adapté à la carrière professionnelle des assurés.
Investir dans les bois et forêts :
Investir dans les bois et forêts constitue un bon moyen de diversifier son patrimoine tout en bénéficiant d’avantages fiscaux non négligeables. Ce type de placement peut être réalisé directement par l’investisseur ou par l’intermédiaire d’une société : le groupement forestier d’investissement (GFI). Une solution qui ressemble à s’y méprendre au fonctionnement des SCPI.
Investir en bourse avec les OPCVM :
Les organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) sont des intermédiaires financiers qui permettent à plusieurs investisseurs de détenir en commun un portefeuille de valeurs mobilières dont la gestion est confiée à un professionnel.
Les OPCVM regroupent deux types de produits :
Les Sicav (sociétés d’investissement à capital variable), des sociétés anonymes dont l’investisseur devient actionnaire ;
les FCP (fonds communs de placement), des copropriétés de valeurs mobilières dépourvues de personnalité morale.
L’univers d’investissement d’un OPCVM est extrêmement varié. Ce dernier peut ainsi acquérir des titres cotés en Bourse (actions cotées, obligations, bons du Trésor), des parts d’autres OPCVM ou encore des bons de souscription. Enfin, les investisseurs sont, en principe, libres d’entrer et de sortir du fonds à tout moment.
Détention de titres, compte-titres et PEA :
Pour investir sur les marchés financiers, le compte-titres ordinaire (CTO) et le plan d’épargne en actions (PEA)
sont des supports incontournables. Cependant, ils ont des caractéristiques et des avantages différents qu’il peut être intéressant de comparer.
Un compte-titres ordinaire offre une grande liberté d’investissement sur les marchés financiers avec finalement assez peu de contraintes. Il peut être souscrit par toute personne physique, majeure ou mineure, peu importe qu’elle soit ou non domiciliée fiscalement en France. Ce qui signifie que si le titulaire du compte-titres s’installe à l’étranger, il pourra le conserver et le faire fonctionner.
Le plan d’épargne en actions est, quant à lui, un peu plus contraignant. Contrairement au compte-titres ordinaire, son souscripteur doit être une personne physique majeure domiciliée fiscalement en France. Sachant qu’un seul PEA par personne est autorisé.
Une des principales différences entre le compte- titres et le PEA est fiscale.
Gestionnaire de patrimoine Vaucluse - Investir dans l’immobilier locatif
La location meublée touristique :
Avec le développement des plates-formes internet comme Airbnb, la tentation de s’adonner à la location meublée touristique est de plus en plus forte chez les particuliers.
Si vous décidez de louer votre résidence principale, vous n’aurez, en principe, pas de démarches particulières à accomplir. Certaines communes (Paris, Annecy, Aix-en-Provence, Biarritz, Bordeaux, Cannes, Lyon, Nice, Strasbourg, Toulouse, Tours) obligent toutefois le propriétaire à déclarer sa résidence principale à la mairie afin de lui attribuer un numéro de déclaration.
Dès le début de votre activité, vous devez demander votre inscription au répertoire Siren de l’Insee. Cette formalité est gratuite. Il faut adresser un formulaire spécifique (Cerfa n° 11921*05) au greffe du tribunal de commerce du lieu du logement loué. Cette démarche accomplie, un numéro SIRET vous sera attribué par l’Insee. Ce numéro sera à reporter sur votre déclaration complémentaire de revenus.
Ayant observé une certaine tension du marché locatif français, les pouvoirs publics sont particulièrement attentifs à ce que les propriétaires de meublés touristiques respectent la règlementation. En plus des contrôles réalisés par certaines grandes villes ou par l’administration fiscale, les plates-formes de location sont tenues, de leur côté, d’adresser chaque année au fisc un ensemble d’informations sur chacun de leurs utilisateurs : des éléments d’identification (nom, prénom, adresse électronique, statut…) et la liste des revenus qu’ils ont perçus par le biais du site internet.
En outre, ces plates-formes ont l’obligation de vérifier que leurs "clients" ne louent pas leur résidence principale plus de 120 jours par an. Si tel était le cas, elles seraient contraintes, après information des propriétaires, de "bloquer" toutes leurs transactions pour l’année considérée.
Mettre fin à un bail d’habitation :
En tant que propriétaire d’un logement que vous louez, vous êtes libre de donner congé à votre locataire à la fin du bail. Mais attention, pour que votre congé soit valable, vous devez respecter un certain nombre de règles.
Un bail d’habitation ne peut prendre fin que s’il a été dénoncé par le bailleur ou le locataire. Si le bailleur est à l’initiative du congé, ce dernier doit être délivré 6 mois avant la date d’échéance du bail s’il s’agit d’une location nue et 3 mois pour une location meublée. Mais attention, pour être valable, le congé doit être motivé soit par la reprise du logement (par le bailleur pour y habiter ou pour y loger un proche), soit par sa vente, soit encore par un motif légitime et sérieux (non-paiement des loyers, comportement du locataire…).
Le bailleur peut délivrer son congé sous trois formes : par lettre recommandée avec demande d’avis de réception, par acte d’huissier ou par remise en main propre contre récépissé ou émargement. Étant précisé que le délai de préavis court à compter du jour de la réception de la lettre par le locataire ou de la signification de l’acte d’huissier.
Le locataire qui a reçu un congé doit quitter les lieux à la date prévue de la fin du bail. Avant son départ, le bailleur prendra soin de réaliser, en présence du locataire, l’état des lieux de sortie. Si les états des lieux d’entrée et de sortie concordent, le bailleur devra reverser la totalité du dépôt de garantie au locataire. À l’inverse, si le bailleur constate des dégradations, il sera en droit de retenir sur cette somme le montant des travaux.
Comment réduire son IFI :
L’impôt sur la fortune immobilière (IFI) a pris la place de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) au 1 janvier 2018. Si vous êtes redevable de ce nouvel impôt, vous pouvez tenter de réduire la facture fiscale tout en maintenant votre investissement dans l’immobilier.
La cotisation d’IFI n’est pas impactée en cas d’investissements dans les sociétés d’investissement immobilier cotées (SIIC). Ces dernières sont des sociétés foncières, le plus souvent des sociétés anonymes, cotées sur un marché règlementé français ou étranger. Leur objet est de donner en location des immeubles qu’elles acquièrent ou qu’elles font construire. Ces opérations leur permettent ainsi de percevoir des loyers et, le cas échéant, des plus-values lors de la cession d‘éléments d’actifs. À noter que les SIIC ne sont pas une spécificité française. Il en existe partout en Europe et également outre-Atlantique, où elles sont connues sous le nom de REIT (real estate investment trusts).
Concrètement, ces titres de sociétés foncières permettent d’investir, via un compte-titres, à la fois en bourse et dans l’immobilier. Et ce, sans avoir à gérer les inconvénients de la détention d’un bien en direct (gestion administrative, sélection des locataires…). Et surtout, ces actifs immobiliers sont exclus formellement de l’assiette de l’IFI (contrairement aux SCPI et OPCI). À condition toutefois que l’investisseur détienne, directement ou indirectement, seul ou conjointement, moins de 5 % du capital et des droits de vote de la société.
Investir en résidence services :
Selon les projections de l’Insee, en 2050, un Français sur trois sera âgé de 60 ans ou plus. Des chiffres qui incitent à penser que des opportunités sont peut-être à saisir du côté des résidences pour seniors.
Lorsque vous investissez dans une résidence pour seniors, vous devenez propriétaire d’un logement meublé destiné à accueillir des personnes âgées et autonomes. Ces résidences leur proposant un lieu comprenant des équipements modernes et des services assurant une certaine qualité de vie : restauration, jardin, piscine, salle de sports, bibliothèque, activités culturelles, etc. Lors de l’achat (comptez entre 150 000 € et 220 000 € pour un deux-pièces de 40 m2), vous signez, dans le même temps, un bail commercial avec un exploitant qui se chargera de la gestion du logement : recherche de locataires, entretien de la résidence, etc. Sachant que vous pouvez espérer un rendement brut compris entre 3 et 5 %.