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Assurance-vie

Assurance-vie

Qu'est-ce qu'une assurance-vie ?

L'assurance-vie permet de se constituer un capital (que l'on soit souscripteur ou assuré). Aussi bien avec des versements ponctuels ou programmés dans le temps sur une durée.

Vous souscrivez votre contrat et l’alimentez à votre rythme selon vos possibilités. Vous choisissez un placement sûr en fonds en euros ou plus risqué avec des unités de compte. L’argent est disponible à tout moment. Tant que vous n’effectuez ni retrait ni rachat, vous n’avez pas besoin de déclarer ce placement à l’administration fiscale.

Le nombre de contrats n’est pas limité. Certains ont souscrit un contrat d’assurance-vie auprès de leur banque puis un autre contrat d’assurance-vie chez un gestionnaire de patrimoine. Cela vous permet de diversifier vos placements et de souscrire des assurances vie de meilleure qualité comme avec le cabinet en gestion de patrimoine Arturo Wealth Management.

Mais l’assurance-vie c'est avant tout du 3 en 1. À la fois produit d’épargne, contrat d'assurance prévoyance et niche fiscale, c'est le couteau suisse de la gestion de patrimoine ! Outil indispensable et souvent mal compris par les investisseurs et malheureusement victime des idées reçues.


Comment investir avec une assurance-vie ?

Il est important de commencer à placer son argent seulement après avoir constitué une épargne de précaution. Pour être serein en cas de coup dur, nous vous recommandons de conserver 3 à 6 mois de dépenses en épargne de précaution.

Le livret A et le LDDS sont de grands classiques pour placer son épargne de précaution. Ces produits sont facilement accessibles, liquides et ne sont pas taxés, d’où leur succès. Concernant leur liquidité ils seront disponible rapidement ! C'est seulement après cela, que vous pourrez envisager les investissements à plus long terme et plus rentable.

Votre conseiller bancaire vous recommandera certainement d’investir en assurance-vie. Et il n’aura pas tort ! L’assurance-vie est un excellent produit pour bien rémunérer son épargne et payer aucun impôt sur les intérêts générés. Il s’agit du meilleur produit d’épargne avec le plan d’épargne en actions (PEA), pour qui veut percevoir des revenus financiers non imposés (hors prélèvements sociaux). À la différence du PEA, l’assurance-vie ne se limite pas aux actions. Un seul et même contrat d’assurance-vie peut proposer :

  • Des fonds euros garantis ;

  • Des actions ou obligations ;

  • Des OPCVM ;

  • De la cryptomonnaie ;

  • De l’immobilier (SCPI, OPCI),

  • Du Private Equity,

  • Etc...

Il existe des dizaines d’assurances-vie et il est peu probable que votre banquier commercialise les meilleures ! Sur le long terme, choisir une bonne assurance-vie plutôt qu’une mauvaise pourra vous faire gagner plusieurs milliers d’euros. Prenez donc le temps de solliciter notre cabinet de gestion de patrimoine Arturo Wealth Management pour une étude comparative.


Assurance-vie, niche fiscale par excellence ?

Vous n’avez rien à déclarer tant que vous ne sortez pas d’argent de votre contrat d’assurance-vie. Vous n’êtes imposable que lorsque vous faites un rachat sur votre assurance-vie. Et uniquement sur la part de la plus-value et non du capital lors de votre rachat. Vos gains s’accumulent dans le temps et sans frottement fiscal. C'est la raison pour laquelle on parle d’enveloppe capitalisante. Cela permet de faire travailler plus d’argent et de profiter pleinement des intérêts composés surtout en cette période d'inflation !

C’est l’âge du contrat qui compte, et la date des sommes investies dessus. Il est donc pertinent d’ouvrir au plus tôt, quitte à alimenter votre assurance-vie seulement quand elle atteindra ses 4 ans ou encore mieux, 8 ans. En effet, faire un rachat sur un contrat de plus de 8 ans permet une exonération d’impôts si on retire une somme qui comprend :

  • Moins de 4 600 € d’intérêts par an pour une personne seule ;

  • Ou 9 200 € pour un couple marié ou pacsé.

Vous choisissez librement vos bénéficiaires et vous pourrez leur transmettre jusqu’à 152 500 € chacun sans qu’ils n’aient à régler de taxes de succession. (Art 990 I du CGI). Les sommes versées par le défunt avant l’âge de 70 ans sont transmises aux bénéficiaires de l’assurance vie de la façon suivante :

  • Sans droits de succession jusqu’à 152 500 € par bénéficiaire ;

  • La part taxable inférieure à 700 000 € = prélèvement forfaitaire de 20 % ;

  • La part taxable au-delà de 700 000 € = prélèvement forfaitaire de 31,25 %.

Cette disposition est particulièrement intéressante quand les bénéficiaires ne sont pas des parents proches, taxés jusqu’à 60 % hors cadre de l’assurance-vie.

Notre conseil : à partir de sommes importantes placées en assurance-vie, pensez à y adjoindre un contrat de capitalisation afin d'optimiser l'aspect fiscal et gérer au mieux la transmission de votre patrimoine.



Ce qu'il faut retenir de l'assurance-vie

L’argent investi en assurance-vie n’est pas bloqué

Votre argent est toujours disponible, vous êtes libre de faire des rachats partiels ou totaux quand vous le souhaitez. Après un rachat partiel, le contrat d’assurance-vie reste ouvert et on peut continuer d’épargner dessus.


Ce n’est pas une assurance décès

L’assurance-vie est avant tout un produit d’épargne. Contrairement à l’assurance décès qui est un produit de prévoyance. Bien qu'elle offre des avantages successoraux indéniables pour la transmission aux bénéficiaires désignés en cas de décès.

  • 152 500 € sans droits de succession par bénéficiaire (quel que soit la personne famille ou non);

  • La condition est de faire les versements avant les 70 ans du souscripteur.


Pas de plafond et 4 stratégies gagnantes !

Il n’y a pas de plafond de versement et vous pouvez profiter de la garantie de dépôt de 70 000 € par assureur par client.


Vous pouvez choisir parmi 3 stratégies de détention d'assurance vie avant 70 ans

Vous possédez plusieurs assurances-vie

  • Diversifier les assureurs ;

  • Mixer le contenu (Fonds euro et Unité de compte) ;

  • Avoir plusieurs bénéficiaires.

Vous possédez 1 assurance-vie avec des allocations d'actifs différents

  • Fonds euros garantis ;

  • Actions / Obligation ;

  • Ou de l’immobilier.

  • Etc ...

Ou bien vous "Fourgousez" vos contrats d'assurance-vie

  • Transformer une assurance vie monosupport en multisupport ;

  • Vous gardez l'antériorité fiscale ;

  • Vous diversifier vos supports d'investissement ;

  • Vous re-dynamiser les rendements de votre assurance-vie ;

  • Et vous limitez les frais de dossier lors de la transformation.

L’assurance-vie autorise à transmettre d’importants montants avec une fiscalité allégée, que l’investissement soit réalisé avant ou après 70 ans. Lorsque le souscripteur investit après 70 ans, ses bénéficiaires se partagent un abattement de 30 500 euros sur les sommes qu’il a placées. Les intérêts générés par ces sommes sont, eux aussi, transmis sans droits de succession.


Vous pouvez mettre en œuvre 1 stratégie complémentaire après 70 ans

  • Stratégie de versement après 70 ans pour la fiscalité (art 757b)

  • Vous calculez les droits de succession sur l'assurance vie alimentée après 70 ans ;

  • Les plus-values sont exonérées de droits de succession ;

  • Les abattements sur les versements réalisés avant et après les 70 ans du souscripteur se cumulent ;

  • Vous devez générer les plus-values en priorité sur les contrats alimentés après 70 ans.

Dès lors que les contrats alimentés avant 70 ans arrivent au plafond de l’abattement de 152 500 euros par bénéficiaire, il se révèle pertinent d’alimenter d’autres contrats après 70 ans et de réserver les supports les plus dynamiques à ces contrats. Seule la part des versements après 70 ans au-delà de 30 500 euros sera fiscalisée à la succession, mais ce ne sera pas le cas des gains réalisés sur ce capital.


Ouvrez une assurance-vie pour prendre date

Il faut prendre date, c’est à dire ouvrir dès que possible. En effet, ouvrir une assurance-vie maintenant permet de démarrer le compteur des années et de bénéficier d’avantages fiscaux à long terme. Même une petite somme "100 €" permet d’ouvrir une assurance-vie. C’est l’âge du contrat qui compte, et non la date des sommes investies dessus !


L’assurance-vie n’est pas un produit réservé qu'aux riches

D’excellents contrats sont accessibles dès "100 €" à l’ouverture et sans obligation de verser ultérieurement. Les assurances-vie qui exigent des tickets d’entrée importants ne sont pas forcément les meilleures.

Bon a savoir : On peut ouvrir une assurance-vie à un enfant, dès sa naissance.



Choisir et ouvrir une assurance-vie

La gestion libre

Vous définissez vous-même votre allocation fonds euros / unités de compte. Ce mode de gestion est recommandé aux initiés qui veulent choisir les unités de compte, ou à ceux qui placent en 100 % fonds euros.


La gestion pilotée

Selon le profil proposé par votre gestionnaire de patrimoine (défensif, équilibré, offensif), le gestionnaire de fonds a un mandat pour gérer à votre place. En pratique, le gestionnaire de votre assurance-vie définit l’allocation fonds euros / unités de compte et selon votre profil il y aura une part plus ou moins importante d’unités de compte donc de volatilité.


Choisir une assurance-vie

Il existe des dizaines d’assurances-vie différentes, des très bonnes et des très mauvaises. Alors soyez donc très sélectif et comparez avant de signer. Nous vous préconisons de vous faire accompagner par un conseil en gestion de patrimoine tel que Arturo Wealth Management, vous serez gagnant sur la durée !


Ouvrir votre assurance-vie

En gestion pilotée, vous validez le profil proposé par le gestionnaire de patrimoine qui se basera selon votre profil investisseur et vos objectifs. En gestion libre, vous choisissez vous-même votre allocation entre supports (fonds euros et unités de compte).


Durant la vie de votre assurance-vie

Vous pouvez laisser vivre votre assurance-vie. Aucune obligation de versement et pas de déclaration fiscale tant que vous ne faites pas de rachat. Sachez que vous pouvez tout gérer en ligne : versements, arbitrages entre fonds, mises en place d’options, rachats, etc.

Notre conseil : faites-vous accompagner afin de dynamiser régulièrement les rendements de votre assurance-vie avec un professionnel. Cela représente certes un petit "coût" mais les gains sont à la hauteur de l'accompagnement fait par le professionnel.



Nos experts à vos cotés

Chez un conseiller en gestion de patrimoine, aucun lien capitalistique ne l’incite à privilégier l’offre d’un établissement plutôt que celle d’un autre. Les bonnes gestions sont partout et il faut pouvoir être à même de sélectionner en toute objectivité les meilleurs gestionnaires, sans conflit d’intérêts. Une banque utilise en priorité ses propres produits à l’intérieur du contrat d’assurance-vie, essentiellement pour des questions de rentabilité. En effet la banque marge plus sur ses propres produits et a tout intérêt à vendre ses produits « maison » auprès de sa clientèle.

Le conseiller en gestion de patrimoine apporte toute sa valeur ajoutée en sélectionnant les meilleurs gestionnaires à l’intérieur du contrat d’assurance-vie. Il est un peu comme un critique littéraire qui sélectionne et donne son avis sur les gestionnaires. Sa valeur ajoutée est avant tout dans la sélection des unités de comptes.

La banque a des coûts de fonctionnement bien supérieurs à ceux d’un conseiller en gestion de patrimoine. Il est plus difficile dans ce cadre de proposer du « sur mesure » pour une banque qui va toujours essayer de proposer une allocation standard, qui de surcroît sera souvent construite avec ses propres fonds (unités de comptes). Les banques gagnent peu d’argent avec l’activité de crédit et doivent se rattraper sur d’autres activités comme celle de la gestion privée. Elles utilisent donc souvent des allocations standards à moins que le client ait un montant très important à gérer et soit éligible à la division « gestion de fortune » qui proposera alors une véritable allocation « sur mesure » comme peut le faire le CGP, et encore cela reste à prouver dans bon nombre de cas ! Également il est légitime de se demander comment le banquier pourrait être à même de proposer une allocation sur mesure quand il a plus de 600 clients à gérer ? Cela se révèle presque impossible !

Enfin il est assez rare qu’une banque propose plusieurs contrats d’assurance-vie. En effet la banque passe en général un partenariat avec une ou deux compagnies d’assurance pour ouvrir ses contrats. Le choix est assez restreint pour le client final contrairement au conseiller en gestion de patrimoine qui a en général plusieurs partenariats ouverts avec les assureurs. Un patrimoine se construit dans la durée. Il en est de même de la relation avec son gestionnaire de patrimoine ! En ouvrant un contrat d’assurance-vie via une banque votre interlocuteur est salarié. Il est fort à parier qu’au bout d’un certain temps, votre interlocuteur change !

Avec un conseiller en gestion de patrimoine , votre interlocuteur est en général associé à la structure. Il a donc vocation à rester dans le temps, d’autant plus quand le conseiller est actionnaire ou si c’est sa propre structure de conseil. Une relation dans la durée favorise le développement d’un climat de confiance. Elle se fonde sur la connaissance approfondie des besoins et de l’évolution de la situation des clients. Il est plus facile de travailler avec une personne qui vous connait bien qu’avec une personne qui change tous les 3 ou 4 ans.

Toujours dans cette notion de temps, le conseiller en gestion de patrimoine possède aussi l’avantage d’être en permanence disponible, dans le sens ou une structure à taille humaine est souvent plus facilement réactive qu’une grande structure comme une banque ! Cette totale disponibilité du conseiller en gestion de patrimoine est un réel avantage dans le temps. Le gestionnaire de patrimoine, comme la banque, va gérer le contrat d’assurance vie mais les fonds restent toujours la propriété de l’assureur sur lesquels le client à une créance.

En aucun cas si la banque ou le gestionnaire venaient à disparaître, cela impacte la valorisation du portefeuille. La banque comme le gestionnaire n’agissent qu’en tant qu’intermédiaire pour animer le contrat et orienter la gestion. Ils sélectionnent les supports et les unités de comptes à l’intérieur du contrat qui restent la propriété de l’assureur. Si le conseiller en gestion de patrimoine ou la banque venait à disparaître, l’assureur proposerait immédiatement une autre structure intermédiaire pour gérer le contrat. Le client n’est donc absolument pas plus en sécurité lorsqu’il ouvre le contrat par une banque que par un conseiller en patrimoine. N'hésitez plus, choisissez d'être accompagné par un ingénieur patrimonial de Arturo Wealth Management !



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